Que les locataires se préparent: les loyers pourraient connaître une hausse d’environ 3 à 4%, selon la Corporation des propriétaires immobiliers du Québec (CORPIQ). Le Tribunal administratif du logement (TAL), lui, prévoit une augmentation moyenne minimale de 2,9% si le propriétaire inclut dans son calcul une hausse de taxes de 5%. Cette dernière est de 4,1% sur l’ensemble de l’île de Montréal.
C’est l’hypothèse qu’a retenue Métro pour vous présenter la carte ci-dessous. Elle permet d’estimer le loyer moyen minimal après hausse par arrondissement, tous types de logements confondus.
D’après le prévoit une augmentation moyenne minimale de 2,9% si le propriétaire inclut dans son calcul une hausse de taxes de 5%. Cette dernière est de 4,1% sur l’ensemble de l’île de Montréal.
C’est l’hypothèse qu’a retenue Métro pour vous présenter la carte ci-dessous. Elle permet d’estimer le loyer moyen minimal après hausse par arrondissement, tous types de logements confondus.
Sur notre carte, la hausse de 2,9% s’applique pour un logement dont le chauffage est à la charge du locataire. Elle pourrait atteindre 8% pour les logements chauffés au mazout. Les travaux de rénovation peuvent aussi avoir un impact sur les hausses de loyer. Le TAL suggère en effet aux propriétaires d’augmenter les frais d’entretien de 5,7%.
Par exemple, en appliquant l’augmentation des frais d’entretien dans le cas d’un logement chauffé au gaz à Rosemont, et selon les loyers recensés par la SCHL, le loyer pourrait augmenter de 89 $ par mois cette année.
Des loyers plus élevés, selon un organisme
Le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ) estime que les chiffres de la SCHL ne reflètent pas la réalité du marché locatif. En effet, les loyers proposés sur les différentes plateformes sont bien au-dessus de ceux observés par la société.
Dans son prévoit une augmentation moyenne minimale de 2,9% si le propriétaire inclut dans son calcul une hausse de taxes de 5%. Cette dernière est de 4,1% sur l’ensemble de l’île de Montréal.
C’est l’hypothèse qu’a retenue Métro pour vous présenter la carte ci-dessous. Elle permet d’estimer le loyer moyen minimal après hausse par arrondissement, tous types de logements confondus.
D’après le prévoit une augmentation moyenne minimale de 2,9% si le propriétaire inclut dans son calcul une hausse de taxes de 5%. Cette dernière est de 4,1% sur l’ensemble de l’île de Montréal.
C’est l’hypothèse qu’a retenue Métro pour vous présenter la carte ci-dessous. Elle permet d’estimer le loyer moyen minimal après hausse par arrondissement, tous types de logements confondus.
Sur notre carte, la hausse de 2,9% s’applique pour un logement dont le chauffage est à la charge du locataire. Elle pourrait atteindre 8% pour les logements chauffés au mazout. Les travaux de rénovation peuvent aussi avoir un impact sur les hausses de loyer. Le TAL suggère en effet aux propriétaires d’augmenter les frais d’entretien de 5,7%.
Par exemple, en appliquant l’augmentation des frais d’entretien dans le cas d’un logement chauffé au gaz à Rosemont, et selon les loyers recensés par la SCHL, le loyer pourrait augmenter de 89 $ par mois cette année.
Des loyers plus élevés, selon un organisme
Le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ) estime que les chiffres de la SCHL ne reflètent pas la réalité du marché locatif. En effet, les loyers proposés sur les différentes plateformes sont bien au-dessus de ceux observés par la société.
La carte ci-dessous présente les hausses minimales de loyer attendues, tous types de logements confondus. Elle prend en compte le rapport du RCLALQ (les données sur l’ouest de l’île étaient indisponibles).
Rappelons que les pourcentages de hausse de loyer proposés par le TAL sont des estimations. Comme l’a récemment rappelé Véronique Laflamme, porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), ils peuvent aussi être utilisés par les locataires pour rejeter une hausse de loyer proposée par leur propriétaire devant le TAL.